Sofia Koupriachina
Sofia Koupriachina avait vingt ans au moment de la perestroïka, elle fait partie du Moscou underground. « Sorte de "François Villon" des clochards, c'est une sans-abris aux dures racines intellectuelles. Un immense talent littéraire et la langue "déglinguée" des banlieues cohabitent en elle. Ce cocktail vous enivre et vous fait rire autant qu’il vous plonge dans le noir. Une nouvelle en littérature, c’est un sonnet dans la poésie. Elle écrit pour des avertis. Il faut la lire par petits bouts et la relire. Il faut être de bonne humeur et avoir l’âge du cynisme sain.» Natalia Turine, éditrice.